Un jour comme tant d'autres,
un dimanche de mai,
avec des chants d'oiseaux
dans le jour qui se lève.
Mais un jour singulier
d'hommages en petit.
Aux mères qui se lèvent
en délaissant leur être
pour donner aux enfants
une attention sereine
qui leur fait oublier
l'âpreté du combat.
Ainsi est ma maman,
depuis près de cent ans.
Une inquiétude tendre
pour sa progéniture.
Enfants, petits-enfants,
arrière-petite-fille,
si loin par la distance
et si près par le cœur,
nous te souhaitons, maman,
une joyeuse fête,
en t'offrant, un à un,
nos sourires unis.