Quelques vers pour Marie
dont je sais qu'elle me lit,
quelque part à Latour
dans le froid du matin.
dont je sais qu'elle me lit,
quelque part à Latour
dans le froid du matin.
Elle a un doux sourire
qu'elle emprunute à sa mère
et une volonté
qu'elle tire de son père.
Mais elle est surtout elle,
tout entière et si noble.
Un accent et des yeux
qui disent la beauté
des choses et des êtres.
Et du combat aussi,
qui, mené chaque jour,
la rend encor' plus belle.