C'est un petit café,
au creux de mon village.
J'y vais le vendredi
pour écrire des vers.
au creux de mon village.
J'y vais le vendredi
pour écrire des vers.
La musique y est douce,
et l'accent y chantonne,
au cœur des bavardages
qui y rythment les heures.
Son comptoir est en bois,
bien loin du zinc glissant
des bistrots parisiens
où l'on vit en courant.