Jamais si peu de vers.
Un juillet de la vie.
La syntaxe s'envole
il reste les silences.
Un juillet de la vie.
La syntaxe s'envole
il reste les silences.
Un livre qui s'imprime
après l'enfièvrement
à retenir des odes
qui rythmaient les journées.
Je sens venir l'envie
de revenir aux vers,
dans chacune des langues
qui rythment mes journées.