À mon cousin Thierry
J'ai appris ce matin
que l'on disparaîtra
quand bouilliront les mers
sous un feu ancestral.
que l'on disparaîtra
quand bouilliront les mers
sous un feu ancestral.
Et je pense à Louise
en proie à son malheur
et à sa joie mêlée
quand le désir l'étreint.
Un sonnet de contraste
sans nul autre bouillon
que celui des syllabes
qui signent son Amour.