Le chemin qui conduit à la plage,
en tendres vagues et plaisirs infinis,
est fait de sable, si doux, si chaud,
un pont étroit qui s'ouvre à l'infini.
en tendres vagues et plaisirs infinis,
est fait de sable, si doux, si chaud,
un pont étroit qui s'ouvre à l'infini.
Et il se meut en dansant entre de vieilles dunes,
promptes à s'inonder sous la mer si saline,
cependant que l'ombre y dessine des rides
qui tracent pour l'amant le plus doux des chemins.
© Roser Blàzquez Gómez, traduit du catalan
par Michel Bourret Guasteví