C'est le dernier poème
d'un mois inépuisable,
emplissant son bissac
d'odes énamourées.
Et si ce mois est mort,
que vive le mois neuf,
septembre de Bécaud
où l'automne se fait.
Le sable refroidi,
il viendra d'autres grains
ou des pluies torrentueuses,
couchées sur le papier.