La peau est une plage,
de sable fin et clair.
Quand les doigts s'y enfoncent,
on sent sa plénitude,
de sable fin et clair.
Quand les doigts s'y enfoncent,
on sent sa plénitude,
la chaleur de son grain,
la finesse de l'ombre.
Un soupçon d'absolu,
dans tant de relatif.
La peau est un mirage,
qui appartient au rêve.
Ferme donc les paupières,
tu la verras s'ouvrir.