C'est un tissu léger
que l'été a choisi.
Une toile si fine
que le soleil en rit.
Sous l'aiguille précise
de la vieille machine,
des mains lui ont donné
l'onctueux de l'organdí.
La peau qui s'y repose
rêve qu'on la lui ôte,
pour donner à la chaise
le confort d'un cosy.