À Bernard Larescheet à la mémoire deMessieurs Duretz etSalomon
Je dois tout à mes maîtres
qui ont quitté ce monde.
Le goût de l'écriture
et du travail bien fait.
Ce doute existentiel
qui guide mon sourire
et me rend perméable
aux avancées des sciences.
Mais, surtout, je leur dois
le respect des anciens,
de ceux qui m'ont offert
le peu que je connais.