Entre un mur et la muse,
il y a si peu à dire.
La rocaille s'effondre
et l'eau glisse à l'envi.
Le mur étaie les êtres,
la muse égaie les lettres.
Aux parpaings des maçons,
les moulins de ton cœur.
Les mots vont et reviennent,
à l'abri du ciment,
sans égard pour la muse
qui les regarde à peîne.