J'ai aimé ta voix cassée par le vent
et les courses incessantes, cette mèche
et les courses incessantes, cette mèche
de cheveux qui voilait tes yeux
et m'entraînait à te suivre. Que douces
étaient les heures qui nous unissaient,
cherchant dans les sons rauques
le sable tiède de la grève et la saveur
douce du trinxat cerdan dégusté tard,
après le livre et les paroles.