J'avais pourtant rêvé
de chemins de traverse,
du goût fort du fenouil,
coupé net à la tige.
Mais la vie s'imposa
dans une pente ombreuse.
Odeur de sacristie,
chasubles et missels.
Qu'il est encourageant
de se laisser glisser,
non loin de sa conscience,
un beau jeudi d'été.