—Por Dios te ruego, marinero,dígasme ora ese cantar.—Anonyme
Il faudra bien qu'un jour
nous allions au jardin
où sont les camélias
dont je sens le parfum.
nous allions au jardin
où sont les camélias
dont je sens le parfum.
Mais il ne faudra pas
que tu m'en cueilles un,
précipitant la mort
de sa tige légère.
Tu es la liberté
qui va par les chemins,
donnant à chaque bourg
un peu de ton sourire.
Et qui te veut pour lui,
ne comprend qui tu es.
Tu es muse incertaine
et vent coulis cendré.