En songeant à La joiede François Cheng
Ces arbres aux fruits secs,
comme des jours sans fin,
illuminent mes songes,
depuis un prix Goncourt.
comme des jours sans fin,
illuminent mes songes,
depuis un prix Goncourt.
L'épaisse chevelure
des fleurs de vermillon
vient épuiser l'humus
de mes rêves d'écrire.
Existent-ils vraiment
ces arbres de Grainville,
au style flamboyant,
à la joie si féconde ?