Jouons à la marelle
en cette fin d'été.
La terre était en deux,
le ciel sera en trente.
Marchons à cloche-pied,
sans crainte de tomber.
Le palet est d'ivoire,
les souliers vernissés
À chaque jour un prix,
à chaque nuit un rêve.
On gagne à tous les coups,
sans jamais s'ennuyer.