La maison que je veux toute à nous
a une porte ouverte sur la liberté
avec une brise marine pour nous dépeigner,
a une porte ouverte sur la liberté
avec une brise marine pour nous dépeigner,
des paysages au goût de sel et des champs semés.
Des fenêtres qui nous lancent à l'aventure
de nous laisser surprendre et de naviguer,
et, en même temps, la discrétion d'une cheminée qui flamboie
et réchauffe à tout moment nos cœurs fatigués.
et réchauffe à tout moment nos cœurs fatigués.
© Roser Blàzquez Gómez, traduit du catalan
par Michel Bourret Guasteví
La casa que vull que sigui ben nostre
té una porta oberta a la llibertat
amb brisa marina que ens despentini,
paisatges amb gust de sal o sembrats.
Finestres que ens llencin a l'aventura
de deixar-nos sorprendre i navegar,
i alhora, discreta, una llar que cremi
i escalfi a tothora els cors cansats.