La côte, le lido. L'étroite bande
de terre, et puis de sable, où se perd,
de terre, et puis de sable, où se perd,
incertain, le vent de la nuit sans témoin.
Que seront dans trois siècles ces maisons
blanches aux volets bleus que l'on croyait
faites pour durer et dont les tiges esseulées
crève déjà sous l'épais béton armé ? Je ne sais.
Pour l'instant, la vie se développe, silencieuse
et sereine. Et l'envie de café m'étreint.