La peau sage, allongée, côte à côte,
puis les souffles qui se croisent,
et la peau contre la peau,
des forêts au bout des doigts.
puis les souffles qui se croisent,
et la peau contre la peau,
des forêts au bout des doigts.
Les bras qui enveloppent, sans nulle
aspérité. Le silence, la tiédeur,
paupières closes qui s'écoutent,
des forêts au bout des doigts.
Les corps s'unissent et se confondent,
par-delà la danse des prénoms, vaine.
Les ongles sont miroirs des âmes,
des forêts au bout des doigts.