Je ne regrette rien
des voyages d'automne,
des autocars bondés
à l'heure des avions.
La saignée verticale
sur la carte routière,
les cars à peu de frais
roulant vers la Cité.
Je ne regrette rien
des journées de mille heures,
ni des cafés brûlants
que j'y ai partagés.