Et mon souffle s'est posé
sur des pages oubliées.
Sage odeur de marjolaine,
la vigueur du réséda.
Dans la force de l'âge,
un grand benêt tourmenté,
et une mare si noire
qui convoque des enfants.
Pages, où est donc votre âme,
qu'aveugle mon souffle traque ?
Entre les lignes serrées
ou dans ton rêve enfantin ?