J'aime les bluettes de jazz,
comme j'aime les coquelicots
libres, caressés par le vent.
comme j'aime les coquelicots
libres, caressés par le vent.
Les doigts dansent sur le bois,
on fredonne, et la vie simple
continue, indépassable.
Le café brûlant refroidit,
les vers piaffent sous le clavier
et la bluette se trémousse.