J'ai quitté la ville
pour les vastes champs,
l'ombre qui défile,
tout dernièrement.
pour les vastes champs,
l'ombre qui défile,
tout dernièrement.
Un pré de chevaux
et des rues étroites,
un hangar si beau
et sa chaleur moite.
J'ai quitté l'urbain,
son fourmillement,
tant de citadins
pour le firmament.