Les lieux communs de l'âme
ne se bâtissent pas.
Ils ignorent le marbre
et préfèrent le vent.
ne se bâtissent pas.
Ils ignorent le marbre
et préfèrent le vent.
Ce sont les voix aimées
qui cherchent des chemins
et s'inventent des langues
pour mieux se retrouver.
Alors l'esprit exulte
de se savoir goûté,
dans la chaleur des mots
et le feu des regards.