Mes mains sont percées,
et je n'ai pas le sou.
Des vieux aristocrates,
je dédaigne la pierre.
et je n'ai pas le sou.
Des vieux aristocrates,
je dédaigne la pierre.
Alors, le soir venu,
en marge de la ville,
je m'invente un château,
de rires et de couleurs.
Un camaïeu de faces,
de force et d'équilibre,
où l'on partage tout,
au feu de notre tour.