Dans tes mains, un peu de sable blanc,
de l'ancienne carrière ou bien de cette plage
où nous marchions naguère quand le soleil dormait.
de l'ancienne carrière ou bien de cette plage
où nous marchions naguère quand le soleil dormait.
Souvent j'y pense, quand je la couvre de baisers,
avant de m'endormir et de céder ma plume.
Les mètres sont un piège ou un carcan très doux,
alors je les néglige et songe à cette poussière
qui n'a rien du brillant de celle des étoiles
mais signe de notre cœur la présence éternelle.