C'est comme un portulan
qui délaisse la terre,
pour la ligne des côtes
et les phares des ports.
qui délaisse la terre,
pour la ligne des côtes
et les phares des ports.
Le profil essentiel,
ses ombres et ses craintes.
Le regard d'obsidienne
qui voit sans regarder.
Et pourtant en son centre,
je sens crisser la peau,
son velouté serein
qui échappe à mes mots.
© Odile Marot