Les lignes dansent sur l'écran
dans la maison silencieuse.
dans la maison silencieuse.
Un vent inattendu se lève,
qui échevelle les âmes, sans,
jamais, ébouriffer les draps.
Dans le balayage des yeux, les mots
se superposent et se substituent,
en une grammaire neuve, de cœur
plus que de raison. Alors la lueur
s'assoupit, et le sommeil nous gagne.