Amour inattendu mais non inespéré.
La larme au coin de l'œil et l'orange à tes lèvres.
Quel charmant balancis que ce sonnet des rêves
qui joue avec les rimes d'un cœur dépoussiéré.
La larme au coin de l'œil et l'orange à tes lèvres.
Quel charmant balancis que ce sonnet des rêves
qui joue avec les rimes d'un cœur dépoussiéré.
Tes phrases nous unissent, mes quelques vers aussi.
L'orange est bien juteuse qui dégoutte de mots.
Magie de ce hasard, la fortune du pot,
qui caresse nos doigts avec diplomatie.
Si la passion exige, le délicat s'impose.
douceur de ces pétales qui sentent l'oranger
et expriment en petit la beauté de la rose.
Avant Apollinaire, tu lisais Papasseit,
je rêvais d'absolu et non d'un cinq à sept,
quand, merveilleusement, tu as tout mélangé.