de baisers et de rencontres. De lectures et de
spectacles aussi, soufflés par des amis, rarement
découverts au hasard de la flânerie.
En me lisant tu souris, car tu sais déjà que c'est
toi qui me l'a soufflée, cette promenade du côté d'une
autre Zazie cependant que je retrouvais à Enrico un
charme que la grisaille adulte m'avait arraché.
Profond et léger, comme une valse-musette serrée. La chambre
n'existait plus, les yeux rivés sur ma tablette, le casque
vissé aux oreilles j'étais tout à une autre. Une autre qui
n'existais pas mais que, précieuse, tu as su mettre sur ma
route.