L'été est loin et ton dos s'est voilé
sous des capes légères, puis opaques
et colorées. J'en devine la courbe
sous des capes légères, puis opaques
et colorées. J'en devine la courbe
et l'allure quand le temps t'est compté
et ma main s'emploie à l'imaginer nu,
sous la caresse, dans l'alcôve interdite.
Portes closes, il est d'autres langages,
ponctués de silence, et si jaloux que nul,
derrière les portes n'en saura jamais rien.