Tant que la vigne pousse, pousse, pousse...Je ne dormirai plus.Colette
Délestés de leurs grappes,
les ceps vont somnolents
dans le couchant. Sarments
emmêlés par le souvenir
des vrilles du printemps,
tendres et virides, entre
deux villages, sans frontière
ni octroi. Délices à venir,
bientôt, en rouge gouleyant.