Le mai venute rappelleras-tu ?Joan Pere Sunyer
C'est la valse des mois
qui rient jusqu'en juillet,
dévoilant leurs clartés,
de l'aube au crépuscule.
De trente à trente-et-un,
vingt-huit ou vingt et neuf,
le soleil qui poudroie
et la pluie qui s'envole.
Voudras-tu donc danser
avec moi cette gigue,
un pied sur vendredi
et l'autre sur lundi ?