C'est un ami de cœur
qui voyage et écrit,
tenant à chaque étape
un carnet d'impressions.
Il tire une carriole,
derrière son vélo,
surmontée d'un fanion
tout blanc comme la paix.
Les Navarrais l'estiment
car, en passant chez eux,
il a su communier
avec les pleurs du peuple.