Que j'aime ainsi finir.
«Porte-toi bien», «Cuída't»,
«Cuídate», selon la langue
qui me chante ou qu'exige
l'ami(e). Je me revois enfant,
apprenant le latin et ces
missives étranges qui jamais
ne seraient envoyées, terminées
pareillement par un «Vale» plein
de douceur. Les courriers de l'enfance,
clos par quatre lettres: FPMB (Fermé
Par Mille Baisers) ont disparu,
les courriels les ont remplacées, mais
la tendresse demeure. Porte-toi bien,
mon ami(e) qui à présent me lis.