À la mémoire de Maria Mercè Marcal
Il y a cette tristesse,
dans les yeux qui regardent
et le pli de la joue
qui sourit malgré lui.
Il y a ces mains croisées,
d'une beauté extrême.
Des mains qui ont œuvré,
sans jamais s'arrêter.
Il y a ce pull de laine,
à l'épaisseur obscure,
donnant à la poète
la chaleur de l'instant.
© Bartomeu Ribes Guasch