J'aimerais tant écrire
au gré de tes réveils,
cueillir sur ton visage
la trace de la nuit.
Et la peindre aussitôt,
avant qu'elle ne s'efface
te rendant au sommeil,
ce dévoreur de rêves.
J'aimerais te veiller
chaque nuit un peu plus,
mais le sommeil m'appelle,
avalant tous mes rêves.