«La vie est plus chère que le confort»,
sages paroles d'une habitante de Kharkiv,
aux yeux apeurés, terrée dans son couloir.
sages paroles d'une habitante de Kharkiv,
aux yeux apeurés, terrée dans son couloir.
Noblesse de la langue française, dans la bouche
de notre sœur, notre pareille. Comment peut-on
encore, comme certains, douter du camp des opprimés ?
Leur vie est plus chère que notre confort
et je crains, qu'à force de fermer les yeux,
notre confort ne soit bientôt plus qu'un mirage.