Entre la mer et l'étang,
de sable et de saladelles,
le lido.
Et sur l'étroite bande, un
fil tendu et ton manteau
blanc qui avance.
Je n'écoute plus le vent
menteur et ses histoires
de poivrots,
Je te regarde, de dos, avancer,
ballerine de jais et d'ambre,
je soutiens mon souffle.
Nul besoin de mes bras venus
tard. D'un bond, tu sautes,
et tu reparles. Un brin.