J'aime ces mots vaporeux qui hésitent,
entre un genre ou l'autre, contraignant
les orateurs pressés à feuilleter fébriles
de gros dictionnaires. L'effluve est l'un
deux que l'apostrophe sauve un temps du
choix cornélien. Il est de puissantes
effluves et des effluves doucereux, comme
la main se plaît à se plonge dans l'onde
qui naguère caressait les cheveux.