De zèbre est ta robe et de vent tes semelles,
où cours-tu ainsi quand finit le lycée ?
Entre filles et garçons, sur des scènes étroites,
sombres ou clairsemées, tu déclines le grave sur
une large palette. Le lutrin de côté, tu arraches
les notes par poignées entières que tu distribues
par la suite aux passants égarés. Si j'étais martinet
c'est sur tes cordes que j'aimerais me poser.