des draps écrus. Un port de chair,
au creux de deux montagnes qui veillent.
Ombreux, dans l'odeur entêtante des buissons
fruitiers. Un port qui invite le naufragé, sur
ses lèvres de sable, à aller de l'avant,
à laisser en arrière son passé et la felouque
désarticulée, pour s'initier au chant des oiseaux
de paradis et à une grotte somptueuse.