Mais que douce est la main,
qui jamais ne se donne,
à celui qui fredonne
sans véritable entrain.
Et que belle est la bouche
qui rit, mastique et pleure
en se moquant de l'heure
qui l'appelle à la couche.
Car libres sont ces parts
qui choisissent ton tout,
en négligeant du fou
le merveilleux hasard.