J'ai toujours aimé les livres
de géographie, leur prudent
exotisme, l'assimilation des
termes étrangers et la perte
de l'accent. La comarque,
inconnue des dictionnaires
du commun et parfaite quant à
sa circonscription, pleure le sel
de la comarca, les conversations
enfiévrées au coin de la rue. Tout
comme la falaise perd son vertige
dans la verte courbe topographique.