C’était la rame amour.
Le chemin sans chemin,
entre le fleuretage du soleil
et la mer nous désagrégeant.
L’insaisissable mourir
d’un souvenir perdu
et tous les honneurs dans l’or
d’une paix en flammes.
Le regard et rien d’autres
où s’estompe le jour
–fuyante jeunesse
de la lumière même.
L’escorte du cœur
était guidée par le couchant
et le tour suivant
était déjà fécond dans la nuit.
Glòria Bassols i Compte, traduit du catalan
par Michel Bourret Guasteví