Je me réveille sur ton flanc.
–L’éternel refuge où est de sel l’aimant de l’amour,
déchaussée et nue, pour toi.
Oh, divin moment qui n’a de nom ni de raison !
Les ber-sages qui m’amalgament en toi,
tombe et autel de l’anthologie inquiète,
morceau si fort de mon emboîtement,
soutien pléthorique,
berceau et catapulte, systole et diastole.
Repos râblé.
Glòria Bassols i Compte, traduit du catalan
par Michel Bourret Guasteví