ou la chambre vaste et dévastée,
de Paul-Jean Toulet, j'ai prestement
abandonné le sonnet, qu'il soit
d'alexandrins pompeux ou d'hexasyllabes
rabougris. Je suis revenu à vous, en
esprit et syntaxe. La liberté des mots,
des sons, pour colorer la nuit, comme,
vous vous en souvenez, ces couchers de
soleil que je voyais antan et que je
m'invente à présent la nuit au creux
d'un lit que je voudrais de mots.