Citrons oblongs, qui
tiennent dans la main
qui les entaille.
Âpre, le jus coule entre
les doigts et la peau se
divise, épaisse, jaune vif.
La main, enlève la pulpe
blanche, amère. La coupe
sera grossière, qui baigne
dans le sucre. Bouillons
brûlants et lents, avant
de longues semaines de
repos, au fond du placard.
Désirs confus, d'ouverture
et de disparition.
De pain bis, à peine rassis,
et d'un autre couteau, rond
celui-ci, pour tartiner,
onctueusement, la marmelade
grossière et savamment, si
savamment acidulée.