Je ne le connais pas,
j'ignore ses toiles,
aperçues au fond d'un
portrait,
mais je goûte ses vers,
découpés et exposés par
un ami poète, cher.
Le désir et la fin, la courbe
tendre et violente de la vie,
le rêve beau d'être à deux et
la conscience seule. Le désir
mouille dans le port des draps
blancs. Merci, Francesc Florit Nin.