Te'n recordes d'aquella cançó del Julien
Clerc? S'havia tornat a vestir en acabar
de cantar Hair. Eren anys d'imaginació al
poder, de bogeria, d'infinita confiança
en el progrés i l'home. Ara n'hi ha que
ploren sols. Més sols que uns pèsols sense
que Déu els tingui en pietat. O m'ho imagino?
Fa tants anys que he deixat la sagristia...
***
«Pleure donc pas comme ça, ça fait pleurer le Bon Dieu !»
Tu te souviens de cette chanson de Julien
Clerc ? Il s'était rhabillé après avoir arrêté
de chanter Hair. C'étaient des années d'imagination au
pouvoir, de folie, de confiance infinie
dans le progrès et dans l'homme. Maintenant certains
pleurent seuls. Plus seuls que des linceuls, sans que
Dieu n'en prenne pitié. Ou bien c'est moi qui me l'imagine ?
Ça fait si longtemps que j'ai quitté la sacristie...